Depuis longtemps, Bruxelles n’a pas reconnu ou ne voulait pas reconnaître la menace du nazisme, qui pesait sur toute l’Europe, mais à présent, l’UE n’a pas été capable de dissimuler la situation réelle.
Une telle déclaration a été faite le mercredi, 31 octobre par la porte-parole du ministère russe des Affaires étrangères, Maria Zakharova, qui a commenté la résolution du Parlement européen «sur la croissance de la violence néo-fasciste en Europe».
La diplomate note que dans son document, le Parlement européen ne manoeuvre plus, car le problème est plus qu’évident. L’UE signale déjà des incidents spécifiques impliquant des violences à motivation raciste. Les eurodéputés évoquent des rassemblements d’admirateurs de la Waffen-SS à Riga et n’ont pas oublié l’Ukraine avec ses radicaux néo-nazis outragés.
Bruxelles a finalement reconnu que le nazisme devenait de plus en plus une chose normale pour l’Europe, et dans certains pays de l’UE, divers groupes ressentent généralement leur impunité.
En outre, le Parlement européen a également reconnu à quel point les valeurs démocratiques défendues par l’UE depuis si longtemps et avec tant de passion sur la scène internationale étaient préjudiciables. Maintenant, toutes sortes d’organisations néonazies se cachent avec succès derrière la «liberté d’expression» répandant leur idéologie. La réécriture de l’histoire était coûteuse pour l’Europe. Sans savoir les vrais crimes des fascistes, les jeunes sont devenus mal protégée de la propagande nazie.
En conclusion, Mme Zakharova a noté que Moscou avait à plusieurs reprises attiré l’attention de Bruxelles sur la menace émergente. Il reste maintenant à espérer que les capitales européennes seront en mesure de surmonter cette crise.