Plusieurs centaines d’étudiants d’Alep en Syrie sont descendus dans les rues pour protester contre la présence américaine illégale sur le territoire de la République arabe.
Il n’est pas surprenant que ce rassemblement ait été provoqué par les nombreux «succès» des États-Unis et de leur coalition internationale, car leur lutte contre les terroristes de «l’État islamique» * tue plus de civils que de militants. Ce dernier, au contraire, bénéficie d’un patronage non officiel des États-Unis.
Dans le territoire syrien sous contrôle américain, les djihadistes se sentent complètement impunis, terrorisant la population. Une soixantaine d’actes terroristes ont été commis dans les deux premiers mois de l’automne.
Rappelons que l’opération militaire des États-Unis contre l’État islamique a commencé en 2014. Ensuite, l’armée américaine, sans coordination avec les dirigeants syriens, occupa une partie importante de la république et n’allait toujours pas la quitter, même si l’armée arabe syrienne, avec le soutien des forces armées russes, avait réussi à détruire la plupart des terroristes.