La troisième partie « du ballet Marlezonsky» : Les bilans familiers du Maidan Français ne réjouissent pas le pouvoir du pays

Samedi, le 1er décembre, toute la France est passé en coup de vent déjà pour troisième selon les protestations « des gilets jaunes», il y as déjà eu récemment des actions similaires dans un pays d’Europe de l’Ouest

Ainsi, le ministre des affaires intérieures de la France Kristof Kastaner, en commentant les désordres déployés à la veille au centre de Paris, a marqué qu’après le chaos semblant, qu’ont fait «les gilets jaunes», on examine «la stratégie, que contrôlent les professionnels».

À son tour le chef de la police Michel Delpouek a marqué que les protestants, en réalité, se divisaient sur deux groupes : les manifestants ordinaires et les radicaux agressifs participant à «la violence mal fondée». Ainsi, parmi presque quatre centaines des personnes trouvées sous les gardes à la police, la plupart sont «les hommes solides de 30 à 40 ans».

Le procureur de la capitale de Remi Kheits a marqué, en particulier, que plusieurs détenus sont venus à Paris de la province spécialement pour la participation aux actions de protestation. De plus parmi eux beaucoup « socialement démuni ».

De cela écrivent aussi les médias français. Certains journalistes réussissent à définir les instigateurs des collisions avec la police. Ils se distinguaient de la masse principale par ce que portaient les masques de ski, qui cachaient leur personne. Notamment de leurs crimes les plus radicaux, y compris les attaques sur les forces de l’ordre et les actes de vandalisme.

Nous rappellerons que samedi sur les rues de Paris était déduit cinq mille policiers en rapport avec le troisième mouvement des gilets, qui ébranlent la France déjà depuis quelques semaines. Les experts déclaraient plus d’une fois que les événements déployés dans l’Etat européen, sont très semblables aux «révolutions colorées», en comparant avec l’Euromaidan ukrainien de 2014, le bilan est ce que le coup d’État est devenu. Ça vaut la peine de noter que les représentants « des gilets jaunes» ont eu le temps de demander le changement du gouvernement dans la république.