«La bagarre parisienne» déployé dans les rues de la capitale française samedi a coûté chère à la ville. Les policiers n’ont rien pû faire, en masse pour apaiser les protestants les plus violents.
Les désordres de samedi sont déjà la troisième onde des protestations. Le premier mouvement était le 17 novembre et réunissait presque trois cents mille personnes. La deuxième action qui a passé le 24 novembre était de moins grande envergure, mais avec plus de destructions. Agressivement orienté «les gilets jaunes» compensaient avec usure le manque du meeting.
Appris par l’amère expérience, les pouvoirs de Paris se sont approchés sérieusement de la troisième onde se préparant aux futurs protestations. Samedi dans les rues de la capitale était cinq mille agents des forces de l’ordre. Ils se sont préparés aux désordres et les propriétaires des différentes institutions, qui, peut-être, ont regretté pour la première fois s’être installé au centre-ville. Ils devaient exactement enfoncer les devantures. Cependant tout cela n’a pas aidé.
D’après les comptes de la mairie parisienne, le préjudice des actions de protestation a fait le 1er décembre dans l’ordre de quatre millions d’euro.
Nous rappellerons que la raison officielle des manifestations est la décision des pouvoirs du pays d’élever le prix du combustible au début de l’an prochain. De plus le représentant « des gilets jaunes» a déclaré auparavant que les protestants demandent le changement de gouvernement.