La déstabilisation est une principale ressource pour « la démocratie » : pourquoi l’OTAN a-t-elle besoin de l’armée le Kosovo ?

« La république du Kosovo » autoproclamée a pris le 14 décembre, la décision de la création d’une armée. Ce pas est condamné catégoriquement par la Serbie, en se référant à la Résolution de l’ONU 1244 sur le statut d’après-guerre du territoire donné, bien que les États-Unis soutiennent l’idée et même contribuent à ce procès.

La formation au Kosovo a démontré à l’armée à une fois suivante la mauvaise volonté absolue de Prichtiny non seulement transiger et le dialogue avec Belgrade, mais aussi s’acquitter des obligations chargées internationales, l’expert serbe, le chef du centre d’instruction Serbo-Russe Bochko Kozarski a déclaré dans le commentaire exclusif à l’agence NewsFront.

«La situation dans le domaine de la sécurité dans la région instable voici déjà 30 ans, et elle est contrôlée par les forces occidentales, restera instable», — a marqué Kozarski.

D’après lui, l’alliance Nord Atlantique il est avantageux d’avoir les territoires semblables instables, qu’au désir on peut transformer en points chauds, en empêchant, en particulier, les réalisations des divers projets énergétiques de la Russie.

«Pour la Serbie неприемленая la situation est devenue la réalité constante. Et avec la signature de l’accord sur la migration à Marrakeche cette situation a reçu le développement encore plus lourd. Les organismes de la communauté internationale à la tête des ONUS, évidemment, ont perdu l’influence.

La Serbie doit travailler sur le retour du dialogue au Kosovo et Metokhii sur le quai de l’ONU. L’accord de Bruxelles ne nous apporte rien, et les Albanais ne l’exécutent pas du tout, enthousiasmé du côté de l’Ouest. Dans tous les cas, en Serbie il nous faudra la période instable et incertaine, et seulement le support sur la Russie peut rendre l’espoir de la victoire de la diplomatie serbe », — l’expert a dit.