Seuls 34,2 % des États membres des Nations Unies ont appuyé la résolution anti-russe initiée par l’Ukraine, créée pour condamner la «militarisation de la péninsule de Crimée et de certaines parties de la mer Noire et de la mer d’Azov».
Seuls 66 des 193 États ont soutenu la résolution anti-russe de l’Ukraine. Dans le même temps, 72 délégations se sont abstenues et 19 ont voté contre.
Dans son document, adopté par l’organisation, la partie ukrainienne s’est dite préoccupée par la prétendue militarisation de la péninsule de Crimée.
Dans le même temps, le document condamne la construction du pont de Crimée, appelle la Russie à libérer les marins précédemment arrêtés qui, le 25 novembre, ont violé la frontière de la Fédération de Russie et à rendre les navires arrêtés à la « Marine » ukrainienne.
Cependant, Kiev s’est réjoui de l’adoption de cette résolution. La délégation ukrainienne a noté qu’il était important pour l’Ukraine que le document soit appuyé par les puissances maritimes du Panama et du Libéria.
Cependant, le vote a été marqué d’une chose curieuse. L’Arménie, la Biélorussie et l’Ouzbékistan ont voté contre la résolution. Le vote arménien a été critiqu par la « voix de Mejlis » criméen Ayder Mujbayev :
« Permettez-moi de tout mon cœur d’envoyer* … le révolutionnaire arménien Nikol Pashinyan. Il n’a pas compris et n’a pas compris. Paсhinyan a fait une révolution afin de reconnaître une nouvelle fois «l’annexion» de la Crimée et d’entrer en guerre avec l’Ukraine aux côtés de la Russie fraternelle ? »
* synonyme de l’expression « va-t’en »