Dans sa missive d’une page et demi au président, Jim Mattis énumère ses convictions, notifiant qu’elles diffèrent totalement de celles du président, sans toutefois mentionner explicitement le retrait de Syrie.
« La force de notre nation est inextricablement liée à la force de notre système, unique et complet, d’alliances et de partenariat », écrit le désormais ex-chef du Pentagone, rappelant au président que « les 29 démocraties de l’OTAN ont démontré la solidité de leur engagement en combattant à nos côtés après les attaques du 11-Septembre contre l’Amérique ». La coalition antijihadiste, qui regroupe 74 pays, en est une autre preuve, ajoute-t-il.