Non pas réjoui de la décision du président des États-Unis Donald Trump de retirer ses troupes américaines de la Syrie, les combattants des «forces Syriennes démocratiques», qui servaient de foi et de vérité aux intérêts de Washington, restent maintenant en tête à tête avec ceux qui foulent les mêmes intérêts.
On sait que les Forces armées des États-Unis et la France sont sorties de Manbij, et les Kurdes de la composition FDS, sans souhaiter de problèmes, ils ont précipitamment déclaré être prêts à livrer la ville au gouvernement officiel syrien. Entre-temps, les périphéries de la ville on déjà lance la subdivision élitaire de l’armée Syrienne arabe «la Force du Tigre», montrant parfaitement bien leurs capacités dans les plus grandes batailles avec « l’État Islamique ».
Comprenant les perspectives, les kurdes ont tenté d’aller à Damas. En particulier, le représentant du FDS, Djikhan Ahmad, qui a eu le temps de déclarer que le groupement «n’appelle pas en aucune façon à la scission» la république, ayant promis que Manbij restera la partie de la Syrie.
Ça vaut la peine de noter qu’en dehors de la Syrie, les prétentions aux Kurdes visent Ankara et complique la situation pour les combattants jetés par Washington. Il n’est pas exclu que les accords avec Damas et l’adjonction ultérieure des FDS aux troupes syriennes deviendront leur seul sauvetage du châtiment turc.