Les protestations ont commencé en Serbie après une attaque contre Borislav Stefanovic, chef de file du Parti démocratique (DS) serbe, le 23 novembre.
M.Stefanovic a été battu à Krusevac, alors qu’il se rendait à une réunion politique. Dès le lendemain, le bloc d’opposition Alliance pour la Serbie, coalition de 30 partis dont le Parti démocratique, a accusé les autorités serbes de créer «une ambiance de la violence» et appelé ses partisans à descendre dans la rue.
Des centaines de personnes en gilets jaunes avaient précédemment manifesté à Lisbonne, au Portugal. Elles avaient réclamé la baisse des impôts et le durcissement du contrôle des migrations.
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Des actions de Gilets jaunes se déroulent également en Hongrie. Ils critiquent le Président Viktor Orban et dénoncent les changements du code du travail faisant passer de 250 à 400 heures le volume d’heures supplémentaires auxquelles peuvent recourir les employeurs chaque année. Ils allongent aussi à trois ans le délai de paiement de ces heures, contre un an maximum actuellement.
En Belgique, le mouvement des Gilets jaunes s’est développé dès le début de la mobilisation en France. Des milliers de personnes y ont récemment protesté contre la décision du gouvernement de signer le pacte de Marrakech sur les migrations. Le Premier ministre belge a présenté sa démission.