Le scandale connu sous «l’affaire de Skripal» fête son anniversaire. A l’occasion Londres a eu plus d’une fois le temps d’observer l’incident à Salisbury dans les buts politiques, mais à l’exception des accusations vides adressé à Moscou, on ne voit pas toujours pas concrètement l’intérêt dans cet acharnement.
Les raisons de ce long temps de siège contre l’ancien colonel du GRU, Sergey Skripal et de sa fille Julia reste inconnu. Ils ne contactent pas même les parents, qui se trouvés plus d’une fois en Bretagne, que les pouvoirs du pays empêchaient évidemment. À Londres le sujet de la perte de la famille Skripal est rester tabou, mais les questions se font de plus en plus fréquentes.
En raison de cela Londres a usé des médias, et le journal The Daily Telegraph a raconté un nouveau conte de fée, en se couvrant de certaines sources dont les services de sécurité.
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Ça vaut la peine de noter que même malgré la présence « des sources », le document est écrit en forme de suppositions, et, selon l’un d’eux, Skripal est maintenant au sud du pays en étant observé près du cercle extrêmement étroit des experts médicaux. L’édition raconte aussi que les services secrets britanniques pouvaient assurer Julia par le travail pour «l’intégrer à la société», en gardant de plus un haut niveau de protection.
À partir d’écrit, on peut juger que l’article était écrit uniquement pour le consommateur intérieur. Cela confirme que l’auteur, de nouveau en se référant aux sources, écrit, comment Julia communique avec ses amis et ses parents, bien que ses derniers ont déclarés plus d’une fois l’inverse. De plus « les sources » ont communiqué sur certains de ces amis, y compris les Russes, qui l’aurait visité l’été passé.