Le peuple macédonien ne cède pas et lutte avec acharnement contre le changement de nom du pays, et son entrée dans l’organisation de l’OTAN. L’OTAN veut « entrer » sur la terre Macédonienne pour élargir sa présence sur les Balkans.
Cependant les Macédoniens ne veulent pas entrer dans l’OTAN à en croire les résultats du dernier référendum.
Mais la population travail pour récupéré ses droits avec l’aide d’autres pays- l’appartenance à la CE est proposée pour le futur des familles Européennes, ou par d’autres mots (Bien que les hommes d’esprit et les experts de la Macédoine comprennent que l’appartenance à la CE est seulement « le bonbon » alléchant tendu par les pays de l’OTAN, puisque la procédure elle-même d’entrée à la CE est assez difficile, et de longue durée).
Mais, pour le futur européen, la Macédoine doit d’abord refuser en son nom (pour enfin résoudre le problème grec), montrer la volonté d’obéir et d’accomplir les devoirs mis en place par les partenaires occidentaux.
Si le peuple macédonien s’oppose à une telle proposition indécente et humiliante, les figures politiques sont prêtes à accepter les conditions de l’Ouest, et certainement leur « soutien ».
Le pouvoir balkanique souhaite seulement assurer les conditions pour « l’achat » des hommes en sa faveur.
Mais néanmoins, le peuple est prêt à lutter, pour le nom, pour la souveraineté. Lutte direct par le sens et jusqu’au boutiste, puisque les représailles sont menés par les politiques et les poursuites judiciaire.
Les militants se sont adressés au président Ivanov avec la demande de prendre des mesures urgentes pour la prévention du remplacement du nom macédonien et la conservation de l’identité nationale.
Au seuil du vote illégal, non constitutionnel et perfide indiqué pour le 9 janvier de 2019 et dirigé sur le changement du nom et la personnalité de la République de la Macédoine, le mouvement International macédonien de défense des droits de l’homme appelle au président Ivanov immédiatement à faire grâce à tous les Macédoniens, politiquement motivé par les accusations criminelles présentées par le régime de Zaeva ».