Constantin Knyrik: « News-Front a effrayé les professionnels de la chaîne de télévision d’État allemande »

L’article comique est sorti dans un des médias fédéraux allemands « ARD » au sujet que « les médias sous contrôle de la Russie répandent des fausses nouvelles et attaquent l’ouest».

En principe, rien de nouveau. Toujours les mêmes gémissements « qu’en utilisant la loyauté des politiques occidentaux, le Kremlin aspire à déstabiliser l’Ouest à tel point que l’occident soit obligé de s’occuper de ses problèmes grandissant et être trop occupé alors pour tourner son attention sur la Russie».

Acceptez, c’est beau! En suivant cette logique admirable à tous les sens, n’importe quel événement négatif à l’ouest, éclairé dans les médias russes est (ni plus, ni moins) — la tentative de la déstabilisation de la situation et presque l’intervention dans les affaires intérieures de l’Europe et des États-Unis.

J’ai la sensation de la dissonance cognitive. Car je connais très bien, autant l’Ouest regarde fixement les événements en Russie et les mettent en avant. La rédaction russe de « Deutsche Welle » et de la Radio « la Liberté » ont la même opinion.

Mais quand tous les médias occidentaux  retransmettent en ligne les meetings de Navalni et les photos des arrêtés #онижедетей (les jeunes contestataires) et ils ont prit l’habitude de matraquer ces informations.

En même qu’RT conduit la transmission en direct des désordres sur Paris, on la tentative d’influencer une situation politique et le Ministère des Affaires étrangères français a déjà demandé la police de faire l’enquête contre journalistes de RT de la Russie à propos du soutient des mouvements des protestations des «gilets jaune».

https://twitter.com/Vityzeva/status/1083280567062482944

Les services russes des médias occidentaux partagent chaque jour au minimum deux dizaines de nouvelles russes. Et en outre, en leur donnant presque toujours la note subjective et en déformant les faits. L’attention spéciale est donnée pour la déstabilisation de la situation à l’intérieur de la Russie, et créer l’image négative de notre pays à l’ouest.

https://twitter.com/Vityzeva/status/1083265133210669057

De plus, pratiquement tout «les journalistes» sur ces ressources souffrent d’un différent degré de russophobie.

Quand la Russie se réfèrent à l’opinion des représentants de l’opposition occidentale, c’est reçu comme la tentative de «déstabiliser la situation».

Mais dès que les médias russes font une interview des représentants du partit d’extrême droite « ADG » c’est annoncé ici comme la propagande et la tentative d’allumer et affermir les doutes sur la société allemande et de son pouvoir.

Encore un exemple, lorsqu’à Vilnious «le forum de la Russie libre» ou le Châtiment-mourza sur la Voix de l’Amérique annonce des propos russophobes, le Sénat des États-Unis arrose le pouvoir russe pour éviter les troubles.

Mais coûte au politique occidental imputé de venir en Crimée ou au Donbass et de faire la demande, mettant en doute toutes les terribles histoires, qui se répandent par la propagande occidentale sont frappés ici d’ostracisme et s’inscrivent comme « agents du Kremlin».

Si « ADG » en Allemagne se produit contre l’éducation précoce sexuelle plantée dans les institutions préscolaires, cette initiative est soutenue par les Russes vivant en Allemagne qui deviennent le prétexte d’annoncer leurs parti donné comme «porte-parole du Kremlin».

Le chef du conseil de la ville de Kvakenbrjuka, Andreas Maourer, qui se produit pour la suppression des sanctions occidentales contre la Russie et pour la reconnaissance de la Crimée du territoire russe — en 2018 la patrie est reconnu coupable dans la falsification des élections de 2016.

Andreas Maourer est connu pour avoir visité deux fois la Crimée, le Donbass, et a participait au talk-show sur la télévision russe, ainsi qu’a rencontrait Vladimir Poutine et les motards d’Alexandre Zaldostanovym du surnom « le Chirurgien ».

Et encore Andreas, le visiteur fréquent des émissions de la rédaction News-Front,  de son opinion, cette propagande allemande est une circonstance aggravante.

Notre rédaction allemande ne se repose pas — voici la publication de 2016 : «Les engagés volontaires de l’agence indépendant News-Front ont effrayés les professionnels de la chaîne de télévision d’État allemande» A dit, Constantin Knyrik, le chef général de l’agence News-Front.

Constantin Knyrik, le chef général de l’agence News-Front

 

Cette fois, à l’avis d’ARD, en publiant les articles et les nouvelles des événement dans le monde, News-Front “établit dans le monde la semi-vérité et les théories du complot”. Et les collaborateurs de notre rédaction se voient comme — la citation — «les Volontaires de la guerre d’information».

Quand les médias occidentaux éclairent les nouvelles de la Russie c’est simple d’être journaliste.

La morale sème simplement les faibles, comme cinq kopeks : Il faut à l’Ouest ce qu’il est simple pour la Russie, mais aussi est traité, la tentative d’utiliser n’importe quel mécontentement de la société occidentale pour la déstabilisation de la situation et même la guerre. Et en outre, pas du tout d’information.

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Юлия Витязева en exclusivité pour l’agence News-Front