Khebel trouve qu’une autre politique pourrait satisfaire plusieurs citoyens d’Allemagne et avec un plus grand succès que celle actuelle.
Peut-on trouver le conseil d’administration comme réussi ?
Certes, le partit de Merkel dit que l’Allemagne est devenue plus sûre, riche, juste et innovante avec son conseil d’administration, mais ce n’est pas un fait réel. Dans mon livre je tente de montrer, cette division dans la société, qui, entre autres, a amené l’activité active de la droite, particulièrement des partis extrémiste, alors qu’Angela Merkel dirige encore le pays. On peut démontrer cela à plusieurs exemples.
Vaudra mieux t’ils aux Allemands une Allemagne sans Merkel et avec une autre politique sociale ?
Je pense que oui. Avant tout, cela concerne la majorité, et peut-être les couches supérieures de la population. Je parle sans détours: Faisant la comparaison avec d’autres pays d’Europe, l’Allemagne est très mauvais. 47 pour-cent de gens sont dans la partie inférieure de l’échelle de revenus, et n’ont pas sentit d’amélioration. Merkel ne s’en souciait pas. C’est lié à sa conception de la politique économique et sociale, qui s’appuie sur la forme définie de la compétitivité. Le fait est que les États se comportent comme s’ils étaient des compagnies, en diminuant les dépenses et en augmentant l’exportation.
Cela a assuré, probablement, la prospérité totale en Allemagne pendant une certaine période, mais cela crée des déséquilibres économiques au niveau international, ainsi qu’au sein du pays où l’aide est absente.
Comment estimez-vous la politique des réfugiés, quelle est l’étape signifiante dans le conseil d’administration de Merkel ?
Cet événement était non sans raison, il s’agit d’un prétexte pour l’inviolabilité d’Angela Merkel. Les ruptures dans la société, entre riche et pauvre, l’industrie de logement souffrant du trafique dans l’immobilier, durant l’année 2015. Mais le désappointement et la colère de plusieurs personnes au sujet de cette situation se sont accentués avec l’arrivé des réfugiés. Ce rapport de 2015 est devenu critique pour Angela Merkel et son invulnérabilité reste surprenante dans l’opinion publique.
Mais je dirai encore une fois : à mon avis, c’est la faute de critiquer Angela Merkel. De mon point de vue, la politique, avant ou sans elle, se passait comme cela déjà depuis longtemps, s’était la vraie raison pour la critique. Et encore un objet sur 2015 : la politique des réfugiés, que l’Allemagne à mit sur le dos d’Angela Merkel, a parmi à ses opposants d’insistaient sur ce que les pays de la CE aux périphéries de l’Union européenne «doivent venir à bout des immigrés». Cependant, presque personne n’avait la possibilité de pénétrer dans le pays excepté par la voie maritime.
Comment a changé la position internationale à l’égard de l’Allemagne de Merkel ?
Je ne crois pas que la situation internationale de l’Allemagne a radicalement changé. Mais je trouve que, malheureusement, les relations internationales en Europe et des régions adhérentes ne soient pas avantageuses pour le gouvernement de Merkel.
Parlons aussi des relations de l’Allemagne avec la Russie: Cela est en effet le point central de la politique étrangère allemande.
Je trouve que du côté l’OTAN, la politique est trop agressive, contre aux valeurs occidentales. À titre d’exemple, je mentionne aussi dans mon livre : «Dans les pays Baltes, les soldats de l’OTAN installent une sorte de principe de rotation pour éviter la promesse de la Russie sur l’emplacement des troupes militaires ». Je trouve cela comme une politique incorrecte.
Merkel se déchirait entre la tentative de garder un lien avec Moscou, tout en gardant une participation active dans la politique d’agression de l’OTAN.