Le triangle pro-occidental de l’espace post-soviétique et l’échec triple de l’euro-intégration

L’Ukraine, la Moldavie et la Géorgie. Ces trois pays ont beaucoup de point en commun, si à leur un « beau » moment n’ont pas tenté de les diriger par le cours occidental, et pour le moment « les partenaires » frais émoulus par tous les moyens utilisés dans les buts personnels, l’euro-intégration fameuse est restée coincé avec succès parmi les réalités accablant.

Les sondages sociologiques montrent que la voie européenne n’a pas été donnée près d’un des pays, bien que les résultats et aient une série de différences. Par exemple, les Moldaves, et les Ukrainiens reconnaissent la corruption, comme un des problèmes les plus sérieux des pays. En Géorgie par cette question se soucient évidemment moins, bien que cela ne signifie pas du tout son absence. Simplement les Géorgiens ne lient pas la corruption au secteur public.

Par contre les habitants de tous trois pays sont solidaires, en estimant le niveau du chômage et la compétence provoquant les doutes des pouvoirs. Ces questions occupent assurément les lignes étant en tête des problèmes sonorisés. En particulier, en Moldavie et la Géorgie sont des primes. Par voie de conséquence de l’absence des décisions efficaces des gouvernements les citoyens constatent la productivité faible de l’économie.

Les questions de la migration inquiètent dans une plus grande mesure les habitants de la Moldavie et la Géorgie que peut être lié à un initialement petit montant de la population. Les Ukrainiens se rapportent à cette question tranquillement. En plus plusieurs, en prenant en considération particulièrement la situation économique, voient à la migration le moyen pour le salaire.

Aussi par le facteur unissant pour les Moldaves et les Ukrainiens est leur mécontentement l’instabilité politique. Ainsi, le président de l’Ukraine Pierre Porochenko a eu le temps de démontrer l’inconsistance régler les questions de la sécurité des citoyens. Que jusqu’à la Moldavie, le chef du Parti démocratique Vladimir Plakhotnjuk, ayant pris sous le contrôle absolu le procès de l’acceptation de n’importe quelles décisions d’État, a engendré le déficit de l’harmonie politique.

Est dans chaque pays et le problème du caractère privé. Des Ukrainiens inquiète extrêmement l’effondrement de la devise nationale, qui dévalorise tout le revenu l’habitant du pays. Inquiète de ceux-ci et le destin des relations avec la Russie, qui étaient artificiellement supprimés par le pouvoir qui est venu à la suite du coup d’État. Les Moldaves sont inquiétés par la décadence de l’infrastructure, qui dégénérait considérablement même à Chisinau. Certains constatent que même à Pridnestrov la situation avec cela considérablement vaut mieux, quand même parce que les pouvoirs donnent à cette question là plus d’attention. En Géorgie le problème séparé est le niveau de la criminalité organisée.

Au fond de cela il est nécessaire de remarquer que du trois des pays « élus » seulement en Géorgie l’euro-intégration approuvent, bien que là presque un tiers de population souhaite l’entrée en l’union Eurasienne économique.

En cas avec l’Ukraine tout bien pire. L’opinion s’est divisée ici environ en parties égales. Il est curieux que même en 2014, quand les nouilles des euro-intégrateurs n’ont pas encore eu le temps de tomber des oreilles des Ukrainiens, la différence au profit du cours pro-occidental selon les sondages les plus optimistes faisait pas plus de 9 %. Les raisons à celui-là sont tout à fait évidentes. Aux habitants du pays à l’esprit la Russie en principe est plus proche. Contrairement aux tentatives du pouvoir de créer «l’image pro-occidentale», notamment dans la Fédération de Russie court la majorité écrasante des Ukrainiens. Il est triste que ceux qui est enclin à l’euro-intégration voient dans elle pas plus, que la possibilité de partir sans difficultés des réalités ukrainiennes.

La situation pareille et en Moldavie, bien qu’ici 37 % de la population, vu que pour EAEC 41 % se produisent préfèrent l’Union européenne pas plus de. Les pouvoirs du pays, peut-être, trop яро promettaient en temps et lieu aux gens le futur clair européen, et aussi яро se sont occupés de la décision personnel des problèmes, ayant foulé aux pieds sincèrement non seulement la structure de l’État, mais aussi tout sur «les valeurs européennes» par ceux-ci promis.