Les États-Unis pendant longtemps étaient froissés sur la question du retrait de leurs troupes de Syrie, mais, probablement, la république arabe devra supporter encore de la démocratie américaine, d’autant plus que Washington participe à «la prolongation thérapeutique».
Il y a eu une forte explosion dans la ville de Manbij, qui est sans doute plus qu’un simple acte de terreur. Il y a quelques victimes, cependant pas nombreuses. En Syrie les gens périssent régulièrement, mais seulement lorsque ce sont des militaires américains alors les États-Unis s’y intéresse.
Les médias s’accrochent depuis longtemps sur la ville de Manbij selon trois sujets : Les kurdes, les turques et les américains.
Quand Trump annonçait «une grande victoire» sur l’État Islamique et l’évacuation des troupes de SARA, les militaires américains n’ont pas été tout à fait d’accord, car ils prenaient tout cela plutôt comme une défaite, qui est aussi défaite des kurdes dont pourtant Washington a soutenu et armé.
En réalité Trump a signer l’arrêt de mort des Kurdes, en les laissant se faire déchier par l’armée syrienne, mais aussi par la Turquie, qui pensait déjà à faire des opérations militaires contre ces derniers, ayant pressé les combattants, en particulier à Manbij, où se sont affaissés les groupements pro-américains.
Les plans d’Ankara ne plaisaient pas aux États. Sur cela auparavant s’exprimait le Donald Tramp lui-même, mais, quand même un principal problème des États-Unis était la décision précipitée d’affaiblir les positions sur le Proche-Orient. Certes, le président ne pouvait pas refuser les mots. Ce serait le coup pour sa réputation. Le maximum, qu’il a exprimé de lui-même, ainsi cette demande sur plus raisonnable, et, en disant plus facilement, la sortie lente de la Syrie. Mais voici la réalisation de ses plans – le coup pour la réputation déjà non seulement les chefs de l’État, mais aussi l’État. Notamment à une telle position se tenaient à Washington.
Et dans la conjoncture présente l’attentat « soudain » met tout sur les places. Au moins, du point de vue américain. De la responsabilité de l’explosion s’est chargé ISIS*. Ce fort à propos, en effet, si elle s’est couchée sur les Kurdes, les problèmes chez les Américains serait beaucoup plus. De plus, l’incident a emporté les vies de quatre citoyens des États-Unis. En disant plus facilement, maintenant rien n’empêche de dire à Washington que Donald Tramp s’est pressé avec les conclusions sur la victoire, eh bien, et la destruction des fils de l’Amérique ne doit pas être vaine, donc l’armée restera en Syrie «jusqu’à victorieux».
*Organisation est interdite dans la Fédération de Russie
Eugeny Gaman, spécialement pour News Front