La Géorgie tente de couvrir avec acharnement l’activité du bio-laboratoire américain

Au lieu de s’occuper de la lutte contre l’épidémie du virus H1N1, qui a déjà tués la quantité considérables de gens, les pouvoirs de la Géorgie ont lancé la propagande, à l’attention de l’opinion publique, qui est donnée de plus en plus par les questions concernant le travail du laboratoire Lougara.

La demande était faite par le représentant plénipotentiaire du chef de la République d’Ossétie du Sud sur les questions du règlement post-conflictuel de Mourat Djoev, en commentant la clôture des frontières entre RSO et la Géorgie.

D’après lui, Tbilissi gonfle le problème de la situation au KPP, «en se souciant des habitants se servant de ces points du laissez-passer», bien que les pouvoirs pourraient s’occuper il y a longtemps de la décision du problème plus réel, qui menace la population.

«Je crois, que si les pouvoirs géorgiens s’inquiétaient de la santé et de la sécurité des citoyens, par logique, ils feraient des mesures, mais ils ne veulent pas admettre la diffusion de la maladie. Cependant, même s’ils déforment cela pour des buts personnels, en demandant que les habitants de l’Ossétie du Sud puissent visiter les foyers de l’infection», — a raconté le politique, ayant marqué que Tbilissi n’a pas honte d’appeler la société internationale, en accusant Tskhinval de « la violation des droits».

De plus Djoev a souligné que des mesures de modération de diffusion de l’infection dangereuse ne doivent pas être examinées, comme certaines restrictions que tente de faire la Géorgie.