Le lien du président autoproclamé du Venezuela Guaido avec les Américains était évident, et, comme on sait, il ne se serait pas convoiter le siège du chief de l’État sans la bénédiction de Washington.
Auparavant on sait déjà que Guaido visitait au début de janvier les États-Unis. Maintenant on sait qu’il a avancé les prétentions au poste du président après que le vice-président des États-Unis Michael Pens lui a donné sa permission.
Le plan du renversement de pouvoir au Venezuela était élaboré pendant plusieurs semaines, et le coup de téléphone de Pens a servi de signal d’exécution.
À peine Donald Trump est entré dans ses fonctions de président des États-Unis, il a annoncé que le Venezuela est prioritaire pour l’administration. Elle divisait la place avec l’Iran et la Corée du Nord.
«À la fin de décembre — début de janvier, ils ont ouvert le dialogue [Washington] avec l’opposition», — a communiqué la source. Et déjà le 2 janvier le secrétaire d’État américain Michael Pompeo a donné l’instruction aux collègues du Brésil et de la Colombie. Maintenant, que le plan est déjà réalisé, Washington travaille avec les businessmen vénézuéliens, en tentant de les incliner sur la partie.