La Syrie ou l’Irak est certes bien, mais «la machine démocratique» est évidemment prête à se déplacer, d’autant plus que les Américains n’ont déjà plus rien à gagner au Proche-Orient.
Le chef du Département d’État américain Mike Pompeo a annoncé que l’État Islamique n’est plus une puissance sérieuse en Syrie, c’est pourquoi ils s’installent maintenant en Afrique.
À en juger par les faits, les États-Unis déblaient les problèmes livrés par Donald Trump, qui, ayant promis d’évacuer ses troupes de Syrie, a sérieusement mis Washington contre ces propres intérêts nationaux. Dans la conjoncture présente, il y a de la revanche dans l’air, Washington commence méthodiquement à communiqué aux Américains une nouvelle portion de propagande, en effet, la communication qui vise le consommateur moyen américain vers «la nouvelle vérité» fait en sorte que chaque Américain croie à la justesse des actions du pays, en prenant en considération qu’il faut que la nouvelle génération d’Américains partent une nouvelle fois en croisade, mais aussi y rester pour toujours.
La voie de Pompeo est arrivé jusqu’à nous – l’effet secondaire ne joue pas en faveur de Washington. Les États-Unis préparent le sol pour le déploiement des forces sur le continent africain, qui n’était jamais célèbre pour sa stabilité. Certes, il est difficile de s’étonner d’une telle politique de l’administration américaine. Cette pratique étant devenu une routine pour les États-Unis. Premièrement, elle permet de contrôler les ressources naturelles, deuxièmement – vendre des armes, légalement, mais aussi sur le marché noir. Alors maintenant, en Afrique, les États-Unis pourrons s’occuper de la Libye souffrant de « démocratie » et de la République de Centrafrique, coopérant activement avec la Russie.
Eugeny Gaman, spécialement pour News Front
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