Mike Pompeo, le chef de la diplomatie américaine, a déclaré qu’«il [était] du devoir des Etats-Unis de combattre le Hezbollah au Venezuela».
Romain Migus, journaliste et écrivain, estime que la présence du groupe dans le pays est «une vieille fake news» qui «légitimerait une action guerrière contre le peuple du Venezuela».