En France, la semaine dernière, cinq églises catholiques ont été vandalisées : crucifix renversés, murs souillés d’excréments, tabernacles saccagés, livres de messe déchirés…
« Heurtés dans leurs convictions », les catholiques organisent depuis des messes de réparations.
Ils étaient plusieurs centaines à Nîmes dans le Gard, ce mercredi soir, une semaine tout juste après la profanation de la petite église de Notre-Dame des Enfants. Après un « rite pénitentiel » pendant lequel l’eau bénite est aspergée sur l’autel, la nef et l’assemblée, catholiques et habitants du quartier ont avoué que la « blessure mettrait sans doute longtemps à se refermer ».