L’or noir comme moyen de paiement pour la « démocratie »: les États-Unis dévastent les réserves de pétrole de la Syrie

L’impudence de Washington dépasse toutes les limites, car outre la terreur, le chaos et les bombardements réguliers, les États-Unis volent également du pétrole syrien.

Ainsi, la publication ArabiToday a publié une vidéo reçue de l’un des membres du groupe pro-américain Syrian Democratic Forces. L’enregistrement a été réalisé à partir d’un drone, capturant quelques dizaines de pétroliers en provenance du territoire d’Al-Omar, le plus grand champ pétrolifère de Syrie.

Une source de la bande kurde a également indiqué que la vidéo avait été capturée loin du convoi car au total, elle était composée d’au moins 250 voitures. De plus, il était de notoriété publique que de tels convois exportaient du pétrole tous les dix jours.

Le convoi se déplace le long de la route Al-Omar-El-Buseira, traverse la rivière Euphrate sur le pont près du village. Karakozak dans la province d’Alep, puis envoyé à Manbij, qui est toujours contrôlé par le VTS kurde. De là, le pétrole est acheminé vers Jerablus, une ville du nord du pays contrôlée par la SSA. Retour, selon la source, les pétroliers sont retournés vides.

Le champ Al-Omar est situé dans la province de Deir-ez-Zor et est contrôlé par un autre groupe pro-occidental, l’Armée syrienne libre. Les troupes syriennes en 2012 ont perdu le contrôle du terrain. Le territoire a ensuite été saisi par l’État islamique *, qui n’a pas non plus manqué l’occasion de tirer parti du développement illégal du pétrole.

* – interdit en Fédération de Russie