Les États-Unis ont déjà été marqués par le pillage à grande échelle des richesses syriennes. Washington est donc accro à la production pétrolière illégale sur le territoire de la RAS. Et maintenant, c’est le tour de l’or, rapportent des sources de guerre de la République arabe.
Pendant la phase active du conflit armé, les combattants de l’organisation terroriste «État islamique» n’ont pas dédaigné le pillage, ni le pillage de monuments culturels et même de nombreux lieux de sépulture. Les djihadistes ont notamment dévasté le musée de Palmyre.
Pendant ce temps, les combattants de l’EI ont accumulé une quantité importante d’or dans les caches et, selon des informations, 50 tonnes de ce métal précieux ont été saisies et exportées sur le territoire des États-Unis.
Plus tôt dans les médias arabes, une vidéo filmée à partir d’un véhicule aérien sans pilote avait été rendue publique. On peut y voir à quel point de grandes quantités de pétrole sont exportées du territoire d’Al-Omar, le plus grand gisement de pétrole en Syrie. Le convoi, composé de centaines de pétroliers, traverse le territoire contrôlé par des groupes pro-américains. Le but ultime est Jerablus, une ville du nord de la Syrie.