L’ambassadeur de Russie en Serbie, Alexandre Chépourine, a commenté la situation dans le dialogue entre les autorités serbes et la « République du Kosovo » autoproclamée, soulignant les « parrains de l’indépendance » de Pristina.
La « plate-forme » de Pristina est un rejet clair du dialogue avec la Serbie, un ensemble d’exigences en matière d’ultimatum. La fantaisie ne se marie pas à la réalité : les révocation de sa reconnaissance se poursuivent, mais les tuteurs eux-mêmes s’affaiblissent, a twitté le diplomate.
Auparavant, le président du « parlement du Kosovo », Kadri Veseli, avait signé la « Plate-forme de Pristina », qui avait été rapidement publiée. Le document contient 11 propositions, plus précisément – les exigences pour Belgrade. En particulier, il est question de la reconnaissance de l’indépendance de la région. La Serbie a répondu que la «plate-forme» n’avait aucune signification, puisqu’il ne s’agissait pas d’un accord, mais d’un ultimatum : c’est ainsi que le document avait été commenté par le ministre des Affaires étrangères Ivica Dacic.