Moscou a critiqué, jeudi, les commentaires de Donald Trump sur les soldats russes présents au Venezuela, estimant que ce n’était pas aux États-Unis de décider avec quel pays Caracas pouvait conclure un accord de coopération militaire.
La passe d’armes se poursuit. Jeudi 28 mars, le Kremlin a demandé à Donald Trump, qui a sommé la Russie de quitter le Venezuela, de se mêler de ses affaires et de la « respecter », assurant que les « spécialistes » russes arrivés récemment à Caracas s’y trouvaient dans le cadre de la mise en œuvre de contrats.
« Il existe des obligations contractuelles, des contrats de livraisons de certains types de biens. Nous ne pensons pas que des pays tiers aient à s’inquiéter de nos liens bilatéraux », a déclaré le porte-parole du Kremlin, Dmitri Peskov.