Le parlement algérien a ouvert aujourd’hui sa réunion pour lancer un processus d’intérim incertain et massivement rejeté par la rue, une semaine après la démission d’Abdelaziz Bouteflika, selon la télévision nationale algérienne.
Les parlementaires doivent acter la «vacance» à la tête de l’Etat et théoriquement nommer le président de la chambre haute (Conseil de la Nation), Abdelkader Bensalah, pour assurer l’intérim à la tête de l’Etat pendant 90 jours.