Le progrès spatial israélien est dû, d’une certaine manière, à une immigration d’ingénieurs comme Charley Attali depuis la France vers Israël, a déclaré David Harari, prix d’Israël d’ingénierie, sur le plateau de la chaîne i24NEWS.
Alors qu’Israël a lancé sa sonde spatiale Beresheet, qui s’est finalement écrasée jeudi sur la surface de la Lune, le prix d’Israël d’ingénierie, David Harari, a mentionné sur le plateau de la chaîne i24NEWS l’apport de la France dans le développement spatial israélien.
https://twitter.com/i24NEWS_FR/status/1116418064554369024
Ainsi, M. Harari a déclaré que le progrès spatial israélien devait en partie son succès à une immigration d’ingénieurs depuis la France vers Israël, citant en guise d’exemple Charley Attali, ingénieur en chef du projet Diamant. Devenu citoyen israélien, ce dernier a participé à de nombreux projets relatifs à la sécurité, dont le développement de drones.
David Harari a par la suite souligné les qualités d’Israël qui lui ont permis d’atteindre un tel résultat.
«Tout ça doit se mettre aussi sur le haut niveau de l’innovation israélienne parce que c’est un peu l’audace technologique d’Israël qui nous a permis à nous tous de faire certaines choses (…) Avec des moyens limités par rapport aux autres», a-t-il conclu.
Jeudi, la première tentative d’alunissage israélienne a échoué, la sonde spatiale Beresheet s’étant écrasée à cause d’une série de défaillances techniques apparues au cours de sa descente.
À l’heure actuelle, seuls la Russie, la Chine et les États-Unis ont pu faire alunir un engin spatial.