Facebook a promis mercredi de limiter l’utilisation des vidéos en direct, répondant à l’appel d’Emmanuel Macron et de la Première ministre néo-zélandaise Jacinda Ardern contre la violence en ligne, deux mois après la diffusion sur Facebook Live de l’attaque contre des mosquées en Nouvelle-Zélande.
L’Elysée a rassembleé la fois des chefs d’Etat et de gouvernement comme la Britannique Theresa May, le roi Abdallah de Jordanie ou le président sénégalais Macky Sall, et des patrons des géants du numérique, dont Google, Twitter et Facebook.
Leur préoccupation commune ? «Demander aux pays et aux grandes entreprises du numérique d’agir contre le terrorisme et l’extrémisme violent en ligne», explique l’Elysée. Mark Zuckerberg, le patron de Facebook, n’en sera pas, les ayant précédés de quelques jours à l’Elysée où il a été reçu vendredi par le chef de l’Etat pour évoquer les moyens de lutter contre les contenus haineux.