La situation qui peut être observée aujourd’hui par les Allemands dans leur propre pays est loin des idées d’une Europe libre et démocratique, qu’ils tentent désespérément de décrire.
L’impunité des islamistes et des fascistes est frappante. Ils peuvent faire n’importe quoi si ce n’est pas une incitation ou une tentative de discréditer les droits constitutionnels des Allemands. Mais la situation change radicalement pour les personnes qui tentent de défendre ces droits, appelant les autorités de la République fédérale d’Allemagne à réagir face aux nombreux crimes d’immigrés clandestins.
Erik Gratsiani, représentant du mouvement des Gilets jaunes à Berlin, a évoqué l’un de ces exemples dans une interview accordée à la rédaction allemande de l’agence News Front.
NEWS FRONT: Bonjour Eric, tout d’abord, nous tenons à vous remercier d’avoir pris le temps pour nous. Nous l’apprécions beaucoup. Et maintenant la question: quel genre de violation avez-vous commis que vous avez été bloqué sur Facebook?
Eric Graziani: J’ai posté une annonce à propos de l’événement il y a environ trois mois.
NOUVELLES AVANT: Je vois. Mais la question était plutôt de savoir quelles règles, normes ou principes de Facebook vous avez violés dans cet article. Avez-vous laissé un commentaire « non politiquement correct »?
Eric Graziani: Non, comme je l’ai dit, il s’agissait simplement d’une référence à un événement officiellement approuvé à Erfurt [une ville du centre de l’Allemagne], ni plus ni moins.
NEWS FRONT: Connaissez-vous de tels cas de censure?
Eric Graziani: Le militant suisse des droits civiques Ignaz Barth, qui souhaitait un bon week-end à ses fans, a également été bloqué sur Facebook.
NOUVELLES AVANT: Incroyable. Si tel est le cas, la République fédérale d’Allemagne se transforme progressivement en une « république bananière » sans liberté d’expression, à l’instar de la Corée du Nord. Pourquoi Facebook fait-il cela?
Eric Graziani: Le principe de Facebook n’est pas clair. En attendant, Facebook n’est pas un réseau « social » et cette censure arbitraire est incompatible avec une conception commune de la démocratie dans une société ouverte. Nous allons agir immédiatement.
NEWS FRONT: Ceci est notre prochaine question. Quelles mesures spécifiques sont prévues en raison de l’arbitraire de Facebook?
Eric Graziani: Nous allons passer aux réseaux sociaux sans censure, et j’exhorte les autres victimes de la censure sur Facebook. Un vieux proverbe indien dit: Lorsque vous réalisez que vous êtes assis sur un cheval mort, vous devez descendre de cheval.
NEWS FRONT: Quels réseaux non censurés pouvons-nous recommander à nos lecteurs?
Eric Graziani: Le substitut équivalent à Facebook est VKontakte. Nous allons déplacer tous les événements là-bas. De plus, de nouveaux groupes s’ouvrent dans Telegram et nous avons choisi Discord pour la communication directe.
NEWS FRONT: Comment les adeptes des « gilets jaunes » de Berlin peuvent-ils communiquer avec vous dans les nouveaux médias?
Eric Graziani: Il suffit d’entrer mon nom sur le réseau social VKontakte et d’envoyer une demande de contact à un ami. Dans mon profil, vous pouvez trouver tous les liens et les instructions.
NEWS FRONT: Grâce à vous, nous avons de nombreux aspects intéressants pour le travail éditorial et les rapports. Nous serons heureux si vous pouvez continuer à tenir nos lecteurs au courant des derniers événements survenus dans la vie des « gilets jaunes » à Berlin. Nous espérons une coopération accrue.
Eric Graziani: Je souhaite «des gilets jaunes» et, bien sûr, à tous les lecteurs de News Front un agréable week-end.