Le président du groupe parlementaire d’amitié tchèque avec la Syrie, Stanislav Grosbic, a affirmé que la reconduction des mesures économiques coercitives prises par l’Union européenne contre la Syrie vise à entraver les efforts visant à éliminer ce qui reste de foyers terroristes et à reconstruire les infrastructures détruites par le terrorisme.
“L’Union européenne, à travers les sanctions contre la Syrie, fait preuve qu’elle se situe dans la ligne du terrorisme”, a affirmé Grosbic dans une déclaration accordée au correspondant de l’Agence SANA à Prague.
Il a indiqué que les sanctions imposées par l’Union européenne à la Syrie portent principalement préjudice aux citoyens syriens, mais également aux pays de l’Union étant donné que la Syrie a des grands partenaires dans le monde comme la Russie, la Chine et autres. Il a exprimé sa conviction que ces sanctions seront tombées tôt ou tard.
Il a souligné que le peuple tchèque n’avait pas changé d’attitude envers la Syrie et avait pleinement compris la réalité de ce qui se passe de mensonges et de tromperies, renouvelant son appel à son pays pour qu’il quitte l’Union européenne et cherche un avenir meilleur en dehors des politiques de l’Union.