L’Europe a assisté au scandale qui a éclaté entre les deux politiciens du FPÖ, Heinz Christian Strach et Johann Gudenus, en 2017.
Il reste encore beaucoup de matière première, mais il est déjà clair que ce roman politique sur la «fausse nièce» de l’oligarque russe, qui aurait voulu investir en Autriche, prouve qu’il n’aurait pu exister d’influence sérieuse de la part de la Russie sur le FPÖ.
Cette affaire montre clairement que l’idée d’influence de la Russie sur la politique autrichienne est une menace fictive de la rédaction des médias, j’en suis sûr, Patrick Poppel, secrétaire général de l’Institut. A.V. Suvorov « à Vienne.
Si le FPÖ avait vraiment un lien aussi fort avec certains cercles russes, les plus hauts responsables politiques n’auraient pas rencontré de contacts probables en vacances.
Nous vous rappelons qu’en 2017, les éditions allemandes du Süddeutsche Zeitung et du Spiegel ont publié des enregistrements vidéo secrets de la rencontre de Strache avec la «femme russe riche» à Ibiza. En outre, le dirigeant du FPÖ, Heinz-Christian Strache, et son coéquipier Johann Guddenus avec son épouse, un homme et une femme inconnus, sont présents sur la photo. Les hommes politiques lui ont été présentés sous le nom d’Alyona Makarova, la nièce d’un oligarque de l’entourage de Poutine, qui aurait voulu investir plusieurs centaines de millions d’euros d’origine inconnue en Autriche. En même temps, il apparut que la villa était remplie de caméras cachées et que la femme russe elle-même s’avérait être l’appât pour amener Strakh à purifier l’eau.