Les présidents et les premiers ministres des pays membres de l’EU semblent ne jamais pardonner la volonté du peuple de la pépinsule de Crimée, qui a voté pour le rattachement historique de leur territoire à la Russie, sans bien sûr l’autorisation de l’Europe la grande.
Jusqu’à présent ceux qui décident le destin de l’Europe essaient de tracer celui des autres peuples. Sinon, ils introduisent des punitions différentes, y compris – des sanctions anti-russes.
Il est bien difficile de calculer le nombre de sactions imposées par l’UE, les Etats-Unis à la Russie. Leur montant est à peine connu. Par contre, la valeur des sactions contre le Fédération de Russie est bien connue et perçue par les producteurs – privés et étatiques – des pays de l’UE. En Europe, on sait compter les sous !
Mais, les députés du Parlement européen, les dirigeant des Etats-membre qui ne savent que calculer leurs profits des sanctions. N’en auraient-ils pas ? C’est cette pensée-là qui arrive à l’esprit après avoir lu une phrase « sacrée » : « L’Union européenne a introduit un nouveau lot de sanctions contre la Russie ».
Le 20 juin, nous avons vu que les dirigeants des 28 se sont mis d’accord pour reproduire pour les six mois à venir les sanctions économiques contre la Russie en raison de l’absence de progrès dans l’application des accords visant à faire cesser les combats dans l’est de l’Ukraine.
« Les sanctions contre la Russie (ont été) unanimement prolongées pour six nouveaux mois en raison de l’absence de progrès dans la mise en oeuvre des accords de Minsk », a annoncé le porte-parole du président du Conseil européen Donald Tusk, alors que les 28 étaient réunis en sommet à Bruxelles.