La chancelière fédérale allemande Angela Merkel et la plupart des autres participants au sommet du G-20 à Osaka sont restés dans l’ombre de trois personnalités: Vladimir Poutine, Donald Trump et Xi Jinping.
Ceci est indiqué dans le matériel de l’édition allemande de la Sueddeutsche Zeitung.
L’auteur de l’article a relevé deux tendances qui ont mis fin au sommet. Selon lui, avec les aspects positifs, le sommet était accompagné d’aspects négatifs. En particulier, il a attiré l’attention sur la rencontre du président américain avec le dirigeant de la RPDC, Kim Jong-un, qui, en tant que symbole d’espoir pour la dénucléarisation, est en fait un acte exemplaire, où Trump n’a pris soin que de belles photographies sur le territoire qui n’est pas encore parti un président américain.
L’article indiquait qu’il suffisait de telles marches vides au sommet et que les dirigeants des pays devaient se mettre d’accord sur ce qui existe déjà.
La déclaration commune sur les résultats des travaux de la plate-forme internationale compte 12 pages. L’harmonisation du texte selon la tradition établie était une tâche très difficile, mais il n’y avait pas une seule idée d’un avenir meilleur qui puisse être digne de confiance. La résolution ne mentionnait que les faits existants, souligne l’article, et les dirigeants européens étaient parfaitement capables de sentir à quel point le monde avait changé et non en leur faveur. Ainsi, même Trump leur a accordé beaucoup moins d’attention que le chef de la RPC ou le président de la Russie.