Des migrants ayant survécu aux frappes aériennes effectuées le 3 juillet sur le centre de détention de Tajoura, en Libye, dans lesquelles seraient mortes au moins 53 personnes, exigent d’être évacués. Certains entament une grève de la faim.
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Rappelons qu’une frappe aérienne contre le centre de détention dans la banlieue de Tripoli, a été attribuée aux forces du maréchal Khalifa Haftar qui tentent depuis trois mois de s’emparer de la capitale.