Les démarches britanniques n’ont pas encouragé de bonnes relations avec l’Iran

Les autorités britanniques ont choisi de poursuivre la campagne anti-iranienne, abandonnant avec défi l’échange du pétrolier Stena Impero, détenu par l’Iran dans le détroit d’Ormuz, sur le Iranien Grace 1, capturé auparavant sur la côte de Gibraltar.

La déclaration correspondante de lundi 29 juillet a été faite par le ministre des Affaires étrangères de la Grande-Bretagne, Dominic Raab.

Il fait valoir que Londres ne veut pas agir sur le principe du « service contre service ». Selon lui, la Grande-Bretagne préférerait continuer à faire appel du droit maritime international et considère donc que les actions de l’Iran sont illégales.

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« S’ils veulent vraiment être reconnus en tant que membres responsables de la communauté internationale, ils doivent alors respecter ses conditions et libérer son équipage », a-t-il déclaré.

En outre, Raab a assuré que le pétrolier iranien Grace 1 était arrêté, apparemment pour des motifs légaux, car il violait les sanctions anti-syriennes prises par les États-Unis et interdisait le commerce de pétrole avec la RAS.

Comme indiqué précédemment par News Front, au début du mois, à la demande des États-Unis, un pétrolier iranien en route vers la Syrie a été saisi de Gibraltar. Deux semaines plus tard, le corps des gardes de la révolution islamique était arrêté par le pétrolier britannique Stena Impero. Pour faire un échange, a proposé le président iranien Hassan Rouhani.

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