« 74 ans après le bombardement nucléaire de Hiroshima, les États-Unis ciblent encore les civils », a écrit le chef de la diplomatie iranienne sur Twitter.
« 74 ans après que les États-Unis furent devenus le premier et le seul régime à utiliser une arme nucléaire — sur une ville pour maximiser les pertes -, ils ciblent encore des civils. Cette fois, avec le terrorisme économique, violant un accord nucléaire historique et punissant ceux qui cherchent à y conformer. » a écrit M. Zarif dans un message sur son compte Twitter.
Le 6 août 1945, à 8 h 15 heure locale, un bombardier B-29 américain baptisé « Enola Gay » a largué une bombe atomique sur la ville japonaise de Hiroshima et trois jours plus tard une autre bombe atomique a secoué Nagasaki.
D’une puissance équivalant à près de 16 kilotonnes de TNT, la bombe de Hiroshima a causé une déflagration faisant monter la température au sol à 4 000 degrés. La bombe a provoqué le jour même et dans les semaines suivantes le décès de 140 000 personnes. À Nagasaki, 74 000 autres personnes ont été tuées.