Barricades, lasers contre la police antiémeutes, attaques de bâtiments officiels… À Hong Kong, une frange des manifestants prodémocratie souhaite rompre avec la ligne pacifique de la mobilisation.
Habillés en noir et le visage masqué, les « frontliners », comme ils se font appeler, prônent la confrontation comme moyen de faire entendre leurs revendications.
Dimanche 18 août, les manifestants hongkongais ont défilé sans heurts. Un rassemblement massif et pacifique qui visait à démentir les accusations chinoises de « terrorisme ».
Mais cette stratégie de la « force tranquille » est contestée par une frange des protestataires, qui se font appeler les « frontliners ». Habillés en noir et le visage masqué, ils prônent la confrontation avec les forces de l’ordre.