Le fait que le président des États-Unis, Donald Trump, se soit vu refuser la vente du Groenland, ne devrait pas contrarier le président de la Maison-Blanche, réputé pour sa dépendance aux marchés.
C’est ce qu’a déclaré le journaliste britannique Richard Littlejohn dans une publication du Daily Mail.
Selon lui, après un échec avec le Groenland, Trump devrait tenter sa chance avec la Grande-Bretagne en fixant un prix pour le Royaume-Uni. L’auteur estime que cette idée est très profitable compte tenu du fait que la livre s’est effondrée et se rapproche du niveau du dollar. « La Grande-Bretagne n’a jamais eu un meilleur prix », a déclaré Littlejohn.
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Ainsi, la valeur nette du royaume aujourd’hui est de 10,2 billions de livres [12,4 milliards de dollars]. En outre, poursuit le journaliste, compte tenu de la crise provoquée par le Brexit et de la baisse des prix de l’immobilier, Washington peut même négocier.
En fin de compte, le publiciste propose de rester à 10 000 milliards de livres: « Trump acceptera immédiatement l’offre, et cet accord deviendrait le plus important de l’histoire, éliminant ainsi le déficit en un instant ». Les États-Unis, à leur tour, prendront le contrôle de la cinquième économie et de la cinquième armée les plus puissantes.
Il a également reconnu qu’être le 51ème État américain est préférable, ne serait-ce que parce qu’ils dépendent moins de Washington que les pays de l’UE. De plus, Bruxelles ne se risquerait pas à prendre des mesures punitives pour le «dur» Brexit, et même l’inverse – «prié de faire affaire avec lui».
«Trump a toujours voulu être ami avec nous, il a proposé de fournir un marché libre et un soutien au Brexit, tandis que les soi-disant partenaires européens nous humilient à la première occasion. En général, Donald, fais-nous une offre directe », a déclaré Littlejo.
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