Le chef du ministère allemand de l’Intérieur, Horst Seehofer, a suggéré d’expulser les réfugiés du pays qui se rendent souvent dans leur pays d’origine. Selon lui, de tels départs démontrent l’absence de persécution des réfugiés dans leur pays d’origine.
Il a souligné le montant dépensé par les réfugiés pour «passer leurs vacances» chez eux. Ainsi, en moyenne, le prix des billets d’Allemagne vers la Syrie, l’Afghanistan ou l’Iraq et inversement dépasse les 1500 €.
Par conséquent, le parti « Alternative pour l’Allemagne » abordera le 8 septembre au Bundestag la question de la privation législative du statut de réfugié de ces migrants. Selon le député Waldemar Gerdt, il ne s’agit pas d’une question politique, mais d’une simple logique.
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Le député français Thierry Mariani a exprimé son adhésion à cette position. Il a suggéré d’introduire une telle pratique dans l’ensemble de l’UE.
Parallèlement, Damas a appelé les Syriens d’Europe à rentrer chez eux et à aider à la reconstruction du pays. Selon le vice-président du comité international du parlement syrien, Ammar al-Assad, le pays a besoin d’enseignants, d’ingénieurs et de médecins.
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