Le Premier ministre britannique Boris Johnson s’apprête à faire face, mardi 3 septembre, à la fronde des députés de son propre camp, le parti conservateur, hostiles à un Brexit sans accord.
Le Parlement fait sa rentrée et, en dépit de la menace de Boris Johnson de convoquer des élections législatives anticipées à la mi-octobre en cas de défaite à Westminster, les conservateurs « rebelles » devraient soutenir l’opposition pour tenter d’imposer un nouveau report du Brexit. Un premier vote sur le calendrier doit d’ailleurs avoir lieu le même jour à la Chambre des communes.