Les dirigeants hongrois, réputés pour leur scepticisme manifeste, ne figurent plus depuis longtemps parmi les favoris de Bruxelles et, dans ce contexte, l’Union européenne a intensifié son examen de la procédure disciplinaire après une assez longue accalmie.
Ainsi, lors de la réunion des ministres de l’UE à la veille de la journée, les responsables ont examiné un rapport sur les modifications apportées à la loi électorale hongroise, la violation de la liberté des médias et la fermeture de l’Université d’Europe centrale.
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La représentante de la France, Amélie de Monschalen, a pour sa part déclaré que la situation en Hongrie « est préoccupante ». À cet égard, elle a demandé à Budapest de répondre aux allégations de la direction hongroise, qualifiant le processus lancé par la Commission européenne de « motivation politique » et de « dénaturation » des accusations.
À l’heure actuelle, Budapest est menacée par un avertissement officiel du Conseil des ministres de l’Union européenne, qui devrait bénéficier de l’appui de cette initiative lors du vote entre 22 pays de l’UE sur 28, alors que les membres de la Communauté de l’Europe de l’Est se rangent du côté hongrois.
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