Mercredi, trois jours après l’annonce de la date du scrutin présidentiel, fixé au 12 décembre, le chef d’état-major Ahmed Gaïd Salah a interdit aux manifestants de province de se rendre à Alger, où de nouvelles manifestations sont prévues vendredi.
L’armée tente-t-elle un nouveau coup de force en dépit des protestations de la rue ? Trois jours après l’annonce de la nouvelle date du scrutin présidentiel fixé au 12 décembre, le chef d’état-major Ahmed Gaïd Salah a indiqué, mercredi 18 septembre, avoir ordonné à la gendarmerie d’empêcher l’accès à la capitale aux manifestants des autres régions.