Au lendemain de la démonstration de force de la jeunesse mondiale pour le climat, plusieurs centaines de jeunes ont enfilé des habits formels samedi pour un sommet climatique au siège des Nations unies, juste avant l’arrivée à New York de centaines de dirigeants mondiaux.
L’ONU a invité 500 jeunes militants ou entrepreneurs verts à participer à cette réunion d’un nouveau genre, mais certains n’ont pas pu venir en raison de visas refusés.
Le ton a été donné dès l’ouverture par le discours furieux du jeune militant argentin Bruno Rodriguez, 19 ans, leader du mouvement des grèves de l’école dans son pays.
« Le climat et la crise écologique sont la crise politique de notre époque », a-t-il lancé, avec à ses côtés le secrétaire général de l’ONU, Antonio Guterres, la militante Suédoise Greta Thunberg et d’autres jeunes conviés par l’organisation internationale.