Le vice-président du Conseil des Ministres, ministre des AE et des Expatriés, Walid Mouallem, a affirmé que les membres du comité constitutionnel sont des décideurs et que le rôle de l’ONU est un médiateur du travail des parties sans intervenir dans le contenu du débat.
Dans une interview qu’il a accordée aujourd’hui à la chaîne de TV syrienne, Mouallem a indiqué que le comité constitutionnel est l’un des résultats de la conférence du dialogue national syrien à Sotchi, faisant allusion aux pressions extérieures pour entraver sa formation.
Mouallem a fait noter que la Syrie conduit le comité constitutionnel qui l’appartient loin de toute ingérence étrangère, disant : « Nous n’admettons aucune pression et intervention dans son action ».
Il a fait savoir que le comité est immunité par des règles et des mesures compatibles avec les constantes nationales et les sacrifices des Syriens.
Mouallem a précisé que les pays qui agressent la Syrie ne veulent aucun progrès dans l’action du comité constitutionnel, car ils ne veulent pas de règlement politique de la crise, assurant que « notre objectif, garanti par le droit international et les résolutions, est de libérer tout pouce des territoires de la Syrie du terrorisme ».