Le président des États-Unis Donald Trump a décidé d’abandonner le nord de la Syrie à son sort.
Comme annoncé la veille par la Maison Blanche, les troupes américaines stationnées dans la zone frontalière avec la Turquie ont amorcé leur retrait, lundi 7 octobre, devant l’imminence d’une opération militaire turque à laquelle elles ne se s’opposeront pas.
La décision américaine pourrait sceller le sort des forces kurdes, sur lesquelles les États-Unis se sont notamment appuyées pour combattre, avec succès, l’organisation État islamique (OEI).