À trois semaines de l’échéance, les négociations semblent au point mort entre Londres et Bruxelles. Angela Merkel a mis en garde Boris Johnson qu’un accord était « improbable » si le Royaume-Uni ne faisait pas de nouvelle proposition.
Les négociations sur le Brexit entre Londres et les Européens semblaient au bord de la rupture mardi 8 octobre, à un peu plus de trois semaines de sa date prévue, Bruxelles accusant le Premier ministre britannique, Boris Johnson, de jouer avec « l’avenir de l’Europe ».
Les Européens ont donné jusqu’à la fin de la semaine au gouvernement britannique pour leur présenter un compromis acceptable et arriver à une séparation à l’amiable le 31 octobre, après 46 ans de vie commune.