Pendant plusieurs années, Washington a parrainé, fourni des armes et défendu de toutes les manières les groupes armés kurdes. Ils ont fait tout le sale boulot pour les États-Unis, mais au moment crucial, le président des États-Unis, Donald Trump, a trahi les Kurdes, ce qui a entraîné « un tournant important dans la longue guerre syrienne ».
Ceci est indiqué dans l »éditions New York Times.
Les médias ont noté que la décision du président ne s’avérait pas être le syndicat le moins rentable pour Washington. Ainsi, les Kurdes, incapables de résister à l’armée turque, trouvèrent un soutien dans le gouvernement de Bachar al-Assad, que les États voulaient retirer depuis si longtemps.
« Depuis cinq ans, la politique des États-Unis repose sur la coopération avec les forces dirigées par les Kurdes, à la fois pour combattre l’État islamique et pour limiter l’influence de l’Iran et de la Russie, qui appuient le gouvernement syrien afin de conserver un certain poids », précise l’édition mentionnée.
Dans le même temps, la publication soulignait que « l’influence des États-Unis a presque disparu », lorsque Donald Trump a abandonné l’approche précédente.
« L’accord entre les Kurdes et Damas a ouvert la voie au retour des forces gouvernementales pour la première fois depuis de nombreuses années sous le contrôle du nord-est du pays », note la publication.
Rappelons que les régions du nord-est de la Syrie étaient sous le contrôle des États-Unis et de groupes kurdes précédemment soutenus par Washington.