Malgré les politiques russophobes et un engagement de coopération étroite avec Washington, le Royaume-Uni a multiplié par cinq ses approvisionnements en gaz naturel liquéfié en provenance de Russie.
La stratégie énergétique et industrielle du gouvernement britannique en témoigne.
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Ayant réduit les approvisionnements en énergie par pipeline de 25,9 à 18,5 milliards de mètres cubes, Londres a commencé à les compenser avec du GNL. Dans le même temps, le gaz russe affiche déjà la plus forte augmentation.
Malgré le fait que le Qatar soit resté le principal fournisseur de GNL en Grande-Bretagne, fournissant 59% du volume total de gaz, les importations de gaz du projet russe Yamal LNG ont été multipliées par cinq. Ainsi, Londres a acheté 1,8 milliard de mètres cubes de gaz naturel liquéfié. Il convient de noter que les quantités vendues aux États-Unis sont plus de 2 fois moins élevées et ne représentent que 700 millions de mètres cubes.
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