Alors que les États-Unis perdaient le potentiel d’achat de ses produits militaires, le Centre américain d’analyse politico-militaire a rapidement rédigé un article éloquent sur le «plan diabolique» de Moscou.
L’auteur de l’idée était le directeur du Centre, Richard Weitz, qui avait exhorté Riyad à ne pas acheter les systèmes de missiles anti-aériens russes S-400 Triumph. Il affirme que le système de défense antimissile «ami ou ennemi» restera censément toujours sous le contrôle de Moscou, qui peut le «régler» pour détruire les avions américains et israéliens.
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Sur la base de la logique de l’expert américain, un système similaire, dont sont équipés les systèmes de défense antimissile américains, peut être contrôlé par le Pentagone, ce qui a délibérément permis le passage de drones à des installations pétrolières saoudiennes.
Comme News Front l’a précédemment signalé, lors d’une attaque contre des raffineries de pétrole saoudiennes, les systèmes de défense antiaérienne Patriot américain n’ont pas répondu aux cibles prétendument parce qu’ils volaient trop bas. L’incident s’est produit le 14 septembre. Les rebelles yéménites ont revendiqué la responsabilité de l’attaque, bien que les États-Unis aient saisi l’occasion et choisi de blâmer sans fondement l’Iran pour l’attaque.
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