Les avocats représentant les intérêts du fondateur de WikiLeaks, Julian Assange, n’ont pu accéder aux documents relatifs à cette affaire que récemment. Ils ont donc demandé aux juges de reporter l’audience à 3 mois.
Néanmoins, malgré la complexité du processus, le tribunal de Westminster a rejeté la demande de la défense et a l’intention de tenir la prochaine audience sur l’extradition le 18 novembre. Assange lui-même y participera par vidéoconférence depuis la prison de Belmarsh.
Voir aussi : Inventé aux États-Unis pour les Saoudiens, le «complot russe» va à l’encontre de Washington
Comme News Front l’avait précédemment signalé, le procès de ce jour était accompagné d’un rassemblement de partisans d’Assange demandant sa libération.
Le fondateur de WikiLeaks s’est caché pendant sept ans à l’ambassade de l’Équateur à Londres. En avril, l’Équateur a refusé de lui accorder un nouvel asile et l’a extradé vers la police britannique. En mai, un tribunal de Londres a condamné Assange à 50 semaines de prison pour violation des conditions de la mise en liberté sous caution.
Assurez-vous de vous abonner à nos chaînes pour toujours être au courant des nouvelles les plus intéressantes de News-Front :
Groupe Ami FaceBook du mois : GEO POLITIQUE