Pour le mois de décembre, l’Algérie n’a importé que 50.000 tonnes de blé, une quantité «considérablement» en recul par rapport à celle que le pays achète habituellement, indique l’agence Reuters.
Tel qu’annoncé au mois d’août par les ministres de l’Agriculture et du Commerce, l’Algérie a effectivement «considérablement» baissé ses importations de blé à moudre pour le mois de décembre, annonce l’agence Reuters en citant des traders européens spécialisés dans ce marché.
بعد ولاية #ورقلة…تسجيل انتاج ضخم من القمح بولاية #ادرار #تبسة و #الوادي…الله يبارك#Algerie Juin 2019
Après la wilaya #Ouargla … une énorme production et récolte de blé tendre dans les Wilayas #Adrar # #Tebessa et #Oued_souf …
Dieu vous bénisse pic.twitter.com/tXWkVAqClt— هنا ورقلة الواحات Ouargla Oasis 🇩🇿 🇩🇿 (@minochere) June 8, 2019
En effet, sur fond de la rude concurrence que se livrent plusieurs pays, dont la France et la Russie, la production abondante de différents types de céréales enregistrée cette année en Algérie ainsi que la valorisation du blé dur, tendre et de l’orge a permis au pays de réduire drastiquement ses importations de blé.
Ainsi, selon Reuters, l’Algérie a commandé uniquement 50.000 tonnes de blé pour décembre. Cette quantité est estimée comme «considérablement plus faible» que celle habituellement achetée par le pays, précise le média, indiquant que l’origine du blé qui sera livré est optionnelle.